Les marchés en mouvement

La trêve commerciale soulage les marchés mondiaux

Pierre-Benoît Gauthier, vice-président, Stratégie de placement à IG Gestion de patrimoine, se penche sur le récent accord de réduction tarifaire mutuel de 90 jours entre les États-Unis et la Chine, et son effet immédiat sur les marchés mondiaux. Il explique que la réduction tarifaire a procuré un soulagement qui a fait remonter les actions, mais prévient que les problèmes structurels dans la relation commerciale demeurent non résolus. Pierre-Benoît discute des incidences potentielles à long terme et précise qu’il ne faut pas trop vite aller en affaires, malgré l’optimisme sur les marchés.

Qu’est-ce qui ranime les marchés?

Pierre-Benoît Gauthier, vice-président, Stratégie de placement à IG Gestion de patrimoine, discute du récent retournement sur les marchés et des changements d’humeur des observateurs, dont l’attitude passe de négative à positive. Il explique que cet optimisme tient davantage à des facteurs techniques et de structure du marché, plutôt qu’à l’amélioration des fondamentaux. Pierre-Benoît explore également les vents favorables potentiels et les risques sous-jacents, y compris les conséquences des tensions commerciales sur l’économie réelle.

À quoi faut-il s’attendre après les élections?

Pierre-Benoît Gauthier, vice-président, Stratégie de placement à IG Gestion de patrimoine, discute des implications des élections sur le marché canadien et la monnaie. Il explore les impacts potentiels sur la politique commerciale, l’énergie et les ressources ainsi que les mesures fiscales, et explique pourquoi les résultats des élections sont susceptibles d'apporter plus de stabilité et de certitude pour les investisseurs.

Qu’est-ce qui explique la remontée du dollar canadien?

Pierre-Benoît Gauthier, vice-président, Stratégie de placement à IG Gestion de patrimoine, discute de la remontée inattendue du dollar canadien. Il expose les récits macroéconomiques très différents qui alimentent cette tendance, allant des baisses de taux possibles de la Réserve fédérale américaine aux conséquences plus larges des politiques de l’administration américaine, et ce que cela signifie pour les investisseurs et investisseuses.

Ne rien faire : la décision la plus intelligente

La Banque du Canada n’a pas décrété de hausse ni de réduction de taux, ni même donné une seule prévision de croissance d’inflation, de dire Pierre-Benoît Gauthier, vice-président, Stratégie de placement à IG Gestion de patrimoine. Il précise que la décision récente de la Banque de maintenir son taux directeur à 2,75 % reflète une approche attentiste face aux incertitudes qui se manifestent tant sur le plan intérieur qu’à l’échelle mondiale. Pierre-Benoît analyse la décision équilibrée de la Banque, les forces conflictuelles que représentent le ralentissement économique et la hausse des coûts engendrée par les droits de douane, et les raisons pour lesquelles ne rien faire reste probablement la décision la plus intelligente à prendre dans un contexte aussi volatil.

La volatilité, peut-on maintenant en tirer parti?

C’est un environnement très différent de celui des périodes de volatilité dans le passé, constate Pierre-Benoît Gauthier, vice-président, Stratégie de placement à IG Gestion de patrimoine. Cette fois-ci, l’élément déclencheur est une politique, et non un choc financier, et le phénomène devrait donc être temporaire. Si c’est le cas, comment peut-on savoir si c’est le bon moment de revenir aux actions? Pierre-Benoît examine trois facteurs de marché (l’indice de volatilité CBOE, les fortes baisses de la valeur marchande sur un et deux jours, et le pessimisme des investisseurs et investisseuses) selon lesquels il serait maintenant temps de tirer parti de la baisse des actions. 

Est-ce la fin de l’exceptionnalisme américain?

Depuis près de 15 ans, le marché boursier américain occupe le devant de la scène, mais est-ce que cela est sur le point de changer? Pierre-Benoît Gauthier, vice-président, Stratégie de placement à IG Gestion de patrimoine, se penche sur les implications économiques des déficits publics américains, la hausse des dépenses budgétaires en Europe et le recalibrage des récits de croissance des géants de la technologie. Pierre-Benoît parle de la réorientation possible des tendances mondiales en matière de placements et des occasions que présentent les matières premières et les actions chinoises.

Nous sommes maintenant en période de correction : à quoi faut-il s’attendre?

Les marchés se retrouvant officiellement en zone de correction, Pierre-Benoît Gauthier, vice-président, Stratégie de placement à IG Gestion de patrimoine affirme que la grande question que se posent maintenant la plupart des investisseurs est : à quand la reprise boursière? Pierre-Benoît explique ce qui définit les corrections et les marchés baissiers, et traite des statistiques que les analystes utilisent pour les aider à prévoir le moment de la remontée des marchés. Si avoir les probabilités de son côté n’est pas un gage de victoire, l’indice de volatilité du CBOE a tout de même correctement prédit la plupart des récentes reprises des marchés.

Au-delà de la politique : les conséquences économiques des droits de douane

Pierre-Benoît Gauthier, vice-président, Stratégie de placement à IG Gestion de patrimoine, se penche sur les conséquences des politiques commerciales du président Trump sur l’économie et les marchés. En se basant sur les données empiriques et les résultats tangibles, Pierre-Benoît expose les conséquences des droits de douane sur l’économie. En effet, malgré les mesures de protection prévues, les données historiques nous indiquent que les droits de douane entraînent une augmentation des prix à la consommation, des pertes d’emplois, un déficit commercial croissant et des relations commerciales tendues.

Baisse de taux à la Banque du Canada : une réponse aux droits de douane

La Banque du Canada a baissé ses taux d’intérêt, mais pas pour les raisons que vous croyez, dit Pierre-Benoît Gauthier, vice-président, Stratégie de placement à IG Gestion de patrimoine. Le gouverneur, Tiff Macklem, a souligné la récente vigueur de l’économie canadienne et du marché du travail, et a précisé que cette baisse était une réponse directe aux droits de douane imposés par le président Trump. Pierre-Benoît parle des incidences de cette décision et de l’équilibre que la Banque du Canada doit trouver.